Actualités économiques et regard sur le marché immobilier

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Hausse des prix de l’immobilier

La Banque du Canada désigne les « investisseurs » comme les principaux responsables des hausses des prix des maisons et du risque accru d’une correction du marché immobilier.

Dans un récent discours, le sous-gouverneur de la Banque du Canada Paul Beaudry a présenté de l’information montrant que le nombre de nouveaux prêts hypothécaires détenus par des investisseurs a doublé au cours de la dernière année. Le nombre de nouveaux prêts hypothécaires contractés par des acheteurs expérimentés a augmenté d’environ 60 %. Le nombre de premiers acheteurs a augmenté d’environ 40 %.

Les données recueillies par Teranet indiquent que plus de 25 % des acheteurs de maisons sont des investisseurs. Cela en fait le plus important groupe d’acheteurs dans le marché. Il y a dix ans, ils formaient le plus petit segment, à environ 15 %.

L’information fournie par le cabinet de recherche et d’analyse immobilières est propre à l’Ontario, mais le même phénomène s’est manifesté Vancouver il y a une décennie et certains signes indiquent qu’il se manifeste également à Montréal à l’heure actuelle.

Cela signifie que les premiers acheteurs sont tout simplement surenchéris par des personnes ou des entreprises ayant plus d’argent ou ayant accès à une valeur nette de leurs propriétés existantes. La Banque du Canada craint que ces investisseurs ne fassent grimper les prix de façon injustifiée en se fondant sur une « exubérance extrapolative », c’est-à-dire sur l’espoir que les prix continueront de grimper même si les augmentations ne sont pas soutenues par des facteurs économiques fondamentaux.

L’effet de « retombée » de ces prix élevés est que certains ménages sont contraints d’accepter des niveaux d’endettement extrêmement élevés, ce qui pourrait accroître les risques d’une correction.

Le niveau d’endettement des ménages canadiens a atteint environ 173 %, ce qui veut dire qu’ils doivent 1,73 $ pour chaque dollar de revenu disponible dont ils disposent. Cela les rend extrêmement sensibles aux hausses de taux d’intérêt et à l’inflation.

La Banque du Canada désigne les « investisseurs » comme les principaux responsables des hausses des prix des maisons et du risque accru d’une correction du marché immobilier.

Dans un récent discours, le sous-gouverneur de la Banque du Canada Paul Beaudry a présenté de l’information montrant que le nombre de nouveaux prêts hypothécaires détenus par des investisseurs a doublé au cours de la dernière année. Le nombre de nouveaux prêts hypothécaires contractés par des acheteurs expérimentés a augmenté d’environ 60 %. Le nombre de premiers acheteurs a augmenté d’environ 40 %.

Les données recueillies par Teranet indiquent que plus de 25 % des acheteurs de maisons sont des investisseurs. Cela en fait le plus important groupe d’acheteurs dans le marché. Il y a dix ans, ils formaient le plus petit segment, à environ 15 %.

L’information fournie par le cabinet de recherche et d’analyse immobilières est propre à l’Ontario, mais le même phénomène s’est manifesté Vancouver il y a une décennie et certains signes indiquent qu’il se manifeste également à Montréal à l’heure actuelle.

Cela signifie que les premiers acheteurs sont tout simplement surenchéris par des personnes ou des entreprises ayant plus d’argent ou ayant accès à une valeur nette de leurs propriétés existantes. La Banque du Canada craint que ces investisseurs ne fassent grimper les prix de façon injustifiée en se fondant sur une « exubérance extrapolative », c’est-à-dire sur l’espoir que les prix continueront de grimper même si les augmentations ne sont pas soutenues par des facteurs économiques fondamentaux.

L’effet de « retombée » de ces prix élevés est que certains ménages sont contraints d’accepter des niveaux d’endettement extrêmement élevés, ce qui pourrait accroître les risques d’une correction.

Le niveau d’endettement des ménages canadiens a atteint environ 173 %, ce qui veut dire qu’ils doivent 1,73 $ pour chaque dollar de revenu disponible dont ils disposent. Cela les rend extrêmement sensibles aux hausses de taux d’intérêt et à l’inflation.

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